Vendredi dernier, j'ai été invitée à une dégustation de vins par Jeff et Mike qui distribuent nos champagnes aux Etats-Unis.
Quelques curiostés comme un vin d'Uruguay ou d'Israël, quelques vins français, italiens et espagnols, beaucoup de vins américains.
En ce qui concerne le vin, la France est un marché très fermé. Il est difficle de trouver chez nous des vins qui ne soient pas français. Je pense qu'une grande partie de la population ignore tout de la qualité des vins italiens, ne parlons même pas des vins californiens.
Personnellement, j'ai passé pas mal de temps en Angleterre quand j'étais plus jeune et mon frère a travaillé quelques années en Afrique du Sud quand il était jeune oenologue. Cela ne fait pas de moi une experte en vins du nouveau monde, mais cela m'a certainement ouvert l'esprit sur la qualité de ces vins et sur le pragmatisme des consommateurs.
Je ne suis certainement pas une experte non plus en vins français d'ailleurs. Je ne suis pas collectionneuse de vin, il m'arrive de rester des semaines sans ouvrir une bouteille. Mon métier m'amène à boire du champagne pratiquement tous les jours, et comme je suis sensible aux recommandations sur la consommation de vins, je m'abstiens d'en boire en dehors de mes heures de travail (!!!).
Jeff et Mike en revanche, sont des passionnés de vins. Ils ont une connaissance incroyable de tous les vins du monde, des cépages, des producteurs, des millésimes. Ce sont de vrais puits de science en ce qui concerne le vin.
Je suis arrivée à cette dégustation sans a priori, simplement persuadée que j'allais déguster de bonnes bouteilles, quelque soit leur provenance.
J'ai eu la chance de repartir avec la bouteille entamée de Ridge Montebello 2002 dont j'ai siroté les quelques verres restant pendant le week-end. C'est soyeux et profond, mmmm...
Ce domaine est devenu célèbre en 1976 en finissant quatrième à la dégustation internationale dite du Jugement de Paris, (vous pouvez lire ici l'article Wikipédia relatant l'histoire de cette dégustation historique) personnellement, je ne connaissais pas l'histoire du Jugement de Paris (mais une fois encore, je ne suis pas une "wine-geek").
Quelques curiostés comme un vin d'Uruguay ou d'Israël, quelques vins français, italiens et espagnols, beaucoup de vins américains.
En ce qui concerne le vin, la France est un marché très fermé. Il est difficle de trouver chez nous des vins qui ne soient pas français. Je pense qu'une grande partie de la population ignore tout de la qualité des vins italiens, ne parlons même pas des vins californiens.
Personnellement, j'ai passé pas mal de temps en Angleterre quand j'étais plus jeune et mon frère a travaillé quelques années en Afrique du Sud quand il était jeune oenologue. Cela ne fait pas de moi une experte en vins du nouveau monde, mais cela m'a certainement ouvert l'esprit sur la qualité de ces vins et sur le pragmatisme des consommateurs.
Je ne suis certainement pas une experte non plus en vins français d'ailleurs. Je ne suis pas collectionneuse de vin, il m'arrive de rester des semaines sans ouvrir une bouteille. Mon métier m'amène à boire du champagne pratiquement tous les jours, et comme je suis sensible aux recommandations sur la consommation de vins, je m'abstiens d'en boire en dehors de mes heures de travail (!!!).
Jeff et Mike en revanche, sont des passionnés de vins. Ils ont une connaissance incroyable de tous les vins du monde, des cépages, des producteurs, des millésimes. Ce sont de vrais puits de science en ce qui concerne le vin.
Je suis arrivée à cette dégustation sans a priori, simplement persuadée que j'allais déguster de bonnes bouteilles, quelque soit leur provenance.
J'ai eu la chance de repartir avec la bouteille entamée de Ridge Montebello 2002 dont j'ai siroté les quelques verres restant pendant le week-end. C'est soyeux et profond, mmmm...
Ce domaine est devenu célèbre en 1976 en finissant quatrième à la dégustation internationale dite du Jugement de Paris, (vous pouvez lire ici l'article Wikipédia relatant l'histoire de cette dégustation historique) personnellement, je ne connaissais pas l'histoire du Jugement de Paris (mais une fois encore, je ne suis pas une "wine-geek").
La leçon que j'en tire, en tant que producteur de Champagne, c'est qu'il ne faut jamais se reposer sur ses lauriers, j'ai la chance de travailler dans une Appellation renommée et historique, mais c'est loin de suffire.